Paris ,30 nov 2011 (SPS) La ministre de la culture, Khadija Hamdi a entamé depuis mardi, une visite de travail de quelques jours en France à l'invitation du réseau français de solidarité avec le peuple sahraoui.
La ministre sahraouie a été reçue au sénat français par Piras Bernard du groupe socialiste, Jean Paul le coq du parti communiste, le président de la région du Limosa, Les municipalités de Toulouse, Limoge et ST Junien.
Khadija Hamdi a eu des entretiens avec l’assemblée générale française, le responsable des relations internationales du parti communiste, Jaques Fath et l’ex-ministre communiste, Français Loncle.
Les entretiens ont été assistés de la part ie sahraouie par le représentant du Front Polisario en France, Omar Mansour, Sadiga Brahim de la délégation diplomatique sahraouie en France, la présidente de l’association d’amitié avec la RASD, Règine Vilimort et le Secrétaire général du réseau, Jean Paul de Marec.
La ministre sahraouie de la culture a participé dans plusieurs séminaires et forums organisés dans des villes françaises sur la question sahraouie et la situation de droit de l’homme dans les territoires occupées du Sahara occidental, notamment âpres le démantèlement des forces marocaines du camp de Gdeim Izik le 08 novembre 2010.
La diplomate sahraoui a dénoncé la situation des prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocains, pariculièrement les militants sahraouis de droit de l’homme à la prison de Sale, en grève de la faim depuis le 31 octobre dernier en protestation contre les conditions dégradantes dans cette prisons et pour exiger un procès équitable où leur libération immédiate et sans conditions.
Elle a également animé des réunions dans des villes françaises, dont Toulouse, Limoge, ST Junien et Grenoble sur " le printemps arabe", soulignant que Gdeim Izik était l'annonce du coup d'envoie des révolutions arabes, malgré l’embargo médiatique et politique exercé par le Maroc sur les territoires occupés.
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